De la génération automatique de documents juridiques à la justice prédictive en passant par la résolution de petits litiges, les startups spécialisées dans le droit ont, en quatre ans, grimpé dans la chaîne de valeur. Les avocats les ont d’abord perçues comme concurrentes avant de s’approprier leurs technologies.
Les avocats se sont longtemps crus épargnés par la révolution numérique en cours. Comment une profession séculaire, réglementée, tenue à un code de déontologie et délivrant des prestations intellectuelles, pouvait être menacée par des solutions technologiques ? Quand sont apparues les premières legal techs françaises en 2013, le premier sentiment est celui du rejet.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire